Figés sur place. Enfin pas tous…

C’était il y a un an. Nous étions en train de planifier un week-end, des sorties, une conférence. Puis l’ampleur du virus a surpris. Pris de cours. Court-circuité. Le coronavirus a tout figé sur son passage, comme un cliché que l’on pourrait regarder aujourd’hui avec amusement, amertume ou douleur, c’est selon.
Et le vocabulaire de la bourse, s’est-il figé, lui aussi ? Pas vraiment. Jetons un œil au graphique.
Le pic est flagrant. Sur Google, on observe une nette augmentation des recherches du mot « bourse », située en plein confinement. Alors bien entendu, tous ceux qui ont tapé ce mot ne cherchaient pas à lire ou à faire des choses strictement identiques. Mais clairement, le mot a suscité un intérêt qui semble coïncider avec le début de la crise sanitaire.
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